Genève, 13 avril 2001 (APIC) C'est par les religions que les femmes sont le plus discriminées. Tel est l'avis émis lors de la 57e session de la Commission des droits de l'homme de l'ONU à Genève par Abdelfattah Amor, rapporteur spécial sur la liberté de religion ou de conviction des Nations Unies. "Les femmes sont les premières victimes du fléau en constante progression de l'extrémisme religieux soutenu par les Etats", précise le rapporteur qui montre du doigt les Talibans d'Afghanistan, mais aussi le Liban, l'Indonésie, la Géorgie et l'Inde.
Abdelfattah Amor examine depuis 1987 les incidents et les violations commises par les gouvernements de la Déclaration de 1981 sur lélimination de toutes les formes dintolérance et de discrimination, fondées sur la religion ou la conviction prises par les gouvernements. "Il y a des lectures de la religion qui réduisent la femme à un être second ordre et qui vont même jusqu'à lui renier sa condition d'être humain à part entière", dénonce le spécialiste. Partout dans le monde et dans toutes les religions, aussi bien le christianisme, le judaïsme ou l'islam, "la question de la discrimination à légard des femmes est un sujet brûlant et urgent qui demande à être empoigné avec efficacité. (apic/ines/mjp)
Voyons
la position des Témoins de Jéhovah*** sur la question:
Les chrétiennes méritent honneur et respect
"Vous les maris, (...) continuez à demeurer avec elles selon la connaissance, leur assignant de l'honneur comme à un vase plus faible, le vase féminin." - 1 PIERRE 3:7.
PRÈS d'un vieux puits situé non loin de la ville de Sychar, un jour de la fin de l'an 30 de notre ère, vers midi, Jésus va révéler comment il faut, selon lui, se conduire envers les femmes. Après avoir marché péniblement toute la matinée à travers la campagne accidentée de la Samarie, il s'est arrêté au puits, fatigué, affamé et assoiffé. Alors qu'il est assis là, une Samaritaine arrive pour tirer de l'eau. "Donne-moi à boire", lui demande-t-il. La femme doit le regarder, interdite. "Comment se fait-il que toi, qui es Juif, tu me demandes à boire, à moi qui suis une femme samaritaine?" s'étonne-t-elle. Un peu plus tard, lorsque ses disciples, qui sont partis acheter de la nourriture, reviennent, eux aussi sont stupéfaits; ils ne comprennent pas que Jésus 'parle avec une femme'. - Jean 4:4-9, 27.
Pourquoi la femme a-t-elle posé cette question et qu'est-ce qui étonne les disciples? L'interlocutrice de Jésus est samaritaine, or les Juifs n'ont pas de relations avec les Samaritains (Jean 8:48). Mais il y a, semble-t-il, une autre raison à leur étonnement. À l'époque, la tradition rabbinique dissuade les hommes de parler aux femmes en public. Pourtant, cela n'a pas empêché Jésus de prêcher ouvertement à cette femme sincère, et même de lui révéler qu'il est le Messie (Jean 4:25, 26). Ce faisant, il montre qu'il ne se laisse pas entraver par des traditions non fondées sur les Écritures, y compris celles qui rabaissent les femmes (Marc 7:9-13). Au contraire, tant par ses actes que par son enseignement, Jésus démontre que les femmes méritent honneur et respect.
L'attitude de Jésus envers les femmes
La tendre compassion que Jésus éprouvait pour les gens en général se retrouve dans son attitude envers les femmes. Un jour, une femme qui souffre d'un flux de sang depuis 12 ans cherche Jésus dans la foule. Son état la rendant impure au regard de la Loi, elle ne devrait pas se trouver là (Lévitique 15:25-27). Mais, poussée par le désespoir, elle se glisse derrière Jésus et touche son vêtement. Elle est guérie instantanément. Bien qu'il se rende chez Jaïrus, dont la fille est gravement malade, Jésus s'arrête. Il a senti une force sortir de lui, et il cherche du regard qui l'a touché. La femme finit par s'approcher et tombe à ses pieds, tremblante. Jésus va-t-il la réprimander pour s'être mêlée à la foule ou pour avoir touché son vêtement sans son autorisation? Au contraire, il se montre bon et chaleureux. "Ma fille, lui dit-il, ta foi t'a rétablie." C'est la seule fois où Jésus s'adressera directement à une femme en l'appelant "ma fille". Quel soulagement elle a dû ressentir! - Matthieu 9:18-22; Marc 5:21-34.
Jésus ne prenait pas la Loi au pied de la lettre. Il en discernait l'esprit et savait l'importance de la miséricorde et de la compassion (voir Matthieu 23:23). En l'occurrence, il a remarqué le désespoir de cette femme malade et a tenu compte du fait que son geste était motivé par la foi. Ce faisant, il a laissé un bel exemple aux membres masculins de la congrégation chrétienne, surtout aux surveillants. Si une chrétienne a des problèmes personnels ou se trouve dans une situation particulièrement éprouvante, les anciens doivent s'efforcer de voir au delà des paroles ou des actes et tenir compte des circonstances et des motivations. Cette analyse leur révélera peut-être que cette chrétienne a moins besoin de conseils et de correction que de patience, de compréhension et de compassion. - Proverbes 10:19; 16:23; 19:11.
Entravées à cause des traditions rabbiniques, les femmes qui vivent à l'époque de Jésus ne sont pas autorisées à servir de témoins. Or, voyez ce qui se passe peu de temps après la résurrection de Jésus, le matin du 16 Nisan de l'an 33. Qui verra en premier Jésus ressuscité et ira attester aux autres disciples que leur Seigneur a été relevé? Les femmes qui sont restées à portée de vue du lieu d'exécution jusqu'au dernier souffle de Jésus. - Matthieu 27:55, 56, 61.
Le matin du premier jour de la semaine, Marie Madeleine et d'autres femmes se rendent au tombeau de bonne heure avec des aromates pour préparer le corps de Jésus. Trouvant le tombeau vide, Marie court prévenir Pierre et Jean. Ses compagnes restent sur place. Peu après, un ange leur apparaît et leur annonce que Jésus a été ressuscité. "Allez vite [le] dire à ses disciples", leur demande-t-il. Alors qu'elles courent porter la nouvelle, Jésus en personne vient à leur rencontre. "Allez annoncer la nouvelle à mes frères", leur dit-il (Matthieu 28:1-10; Marc 16:1, 2; Jean 20:1, 2). Ignorant tout de l'intervention de l'ange, écrasée de chagrin, Marie Madeleine retourne au tombeau vide. Jésus lui apparaît et, après qu'elle l'a reconnu, il la charge d'une mission: "Va-t'en vers mes frères et dis-leur: 'Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu.'" - Jean 20:11-18; voir aussi Matthieu 28:9, 10.
Jésus aurait pu apparaître d'abord à Pierre, à Jean ou à un autre de ses disciples masculins. Il a préféré accorder cette faveur à ces femmes en faisant d'elles les premiers témoins oculaires de sa résurrection et en les chargeant de l'attester à ses disciples masculins. Comment ceux-ci ont-ils réagi au début? Le récit déclare: "Ces propos leur parurent comme de pures absurdités, et ils ne croyaient pas les femmes." (Luc 24:11). Se pourrait-il qu'ils aient eu du mal à accepter ce témoignage parce qu'il émanait de femmes? Si c'est le cas, avec le temps ils ont reçu abondance de preuves que Jésus avait été ressuscité d'entre les morts (Luc 24:13-46; 1 Corinthiens 15:3-8). De nos jours, les éléments masculins de la congrégation font preuve de sagesse en prenant en considération les remarques de leurs soeurs chrétiennes. - Voir Genèse 21:12.
Il est extrêmement réconfortant de remarquer l'attitude de Jésus envers les femmes. Toujours compatissant et parfaitement équilibré dans ses rapports avec elles, jamais il ne les mettait sur un piédestal ni ne les rabaissait (Jean 2:3-5). Il refusait les traditions rabbiniques qui frustraient les femmes de leur dignité et annulaient la Parole de Dieu (voir Matthieu 15:3-9). En témoignant honneur et respect aux femmes, Jésus a montré directement quelle conduite Jéhovah Dieu souhaite voir les hommes adopter envers elles (Jean 5:19). Il a également laissé un magnifique exemple aux chrétiens masculins. - 1 Pierre 2:21.
L'enseignement de Jésus sur les femmes
Jésus réfutait les traditions rabbiniques et accordait de la dignité aux femmes non seulement par ses actes mais aussi par son enseignement. Voyez, par exemple, ce qu'il a dit sur le divorce et l'adultère.
À propos du divorce, on lui a posé la question suivante: "Est-il permis à un homme de divorcer avec sa femme pour n'importe quel motif?" Voici la réponse de Jésus, telle qu'elle est consignée dans le récit de Marc: "Quiconque divorce avec sa femme [sauf pour motif de fornication] et se marie avec une autre commet un adultère envers elle, et si jamais une femme, après avoir divorcé avec son mari, se marie avec un autre, elle commet un adultère." (Marc 10:10-12; Matthieu 19:3, 9). En une simple phrase, Jésus révèle son respect pour la dignité des femmes. Comment?
Tout d'abord, en précisant "sauf pour motif de fornication" (expression mentionnée dans l'Évangile de Matthieu), Jésus montre qu'on ne peut prendre le lien conjugal à la légère ou le briser facilement. À l'époque, l'enseignement des rabbins permet aux hommes de divorcer de leur femme pour des motifs aussi futiles que celui d'avoir raté un plat ou d'avoir parlé à un inconnu. Un homme est même autorisé à divorcer s'il trouve une femme plus séduisante à ses yeux! "Par ses paroles, écrit un bibliste, Jésus (...) prenait fermement fait et cause pour les femmes en s'efforçant de rétablir le mariage à la place qui lui revient." De fait, le mariage devrait être une union permanente dans laquelle la femme se sente en sécurité. - Marc 10:6-9.
Ensuite, par l'expression "commet un adultère envers elle", Jésus introduit une notion qui n'est pas reconnue par les tribunaux rabbiniques: celle d'un mari commettant un adultère envers sa femme. On relève cette explication dans un Commentaire interprétatif de la Bible (angl.): "Dans le judaïsme rabbinique, une femme infidèle pouvait commettre un adultère envers son mari; un homme, en ayant des relations sexuelles avec la femme d'un autre, pouvait commettre un adultère envers cet homme. Mais, quoi qu'il fît, un homme ne pouvait jamais commettre un adultère envers sa femme. En plaçant le mari sous la même obligation morale que sa femme, Jésus a élevé le statut et la dignité de la femme."
Enfin, par l'expression "après avoir divorcé avec son mari", Jésus légitime le droit d'une femme à divorcer d'un mari infidèle, possibilité apparemment connue, mais peu en usage sous la loi juive de l'époque. "Un mari, disait-on, peut divorcer de sa femme avec ou sans son consentement, mais une femme ne le peut qu'avec le consentement de son mari." Selon Jésus, cependant, dans les normes chrétiennes hommes et femmes seraient soumis au même principe.
À travers son enseignement, Jésus a montré à quel point le bonheur des femmes lui tenait à coeur. On comprend donc aisément que certaines lui aient manifesté de l'amour en mettant leur avoir à son service (Luc 8:1-3). "Ce que j'enseigne n'est pas mien, disait Jésus, mais appartient à celui qui m'a envoyé." (Jean 7:16). Son enseignement traduisait donc la tendre considération que Jéhovah éprouve envers les femmes.
"Leur assignant de l'honneur"
L'apôtre Pierre a été témoin oculaire du comportement de Jésus envers les femmes. Une trentaine d'années plus tard, il a donné lui-même des conseils pleins d'amour aux femmes mariées, avant d'ajouter: "Vous les maris, de même, continuez à demeurer avec elles selon la connaissance, leur assignant de l'honneur comme à un vase plus faible, le vase féminin, puisque vous aussi, vous êtes avec elles héritiers de la faveur imméritée de la vie, afin que vos prières ne soient pas entravées." (1 Pierre 3:7). Qu'entendait Pierre par l'expression "leur assignant de l'honneur"?
Selon un lexicographe, le nom grec traduit par "honneur" (timê) a pour sens "prix, valeur, honneur, respect". Certaines formes de ce mot sont rendues par "présents" et "précieux". (Actes 28:10; 1 Pierre 2:7.) L'emploi que Pierre fait d'une forme de ce mot en 2 Pierre 1:17 nous permet de mieux comprendre ce que signifie honorer quelqu'un. Au sujet de la transfiguration de Jésus, il écrit: "Il reçut de Dieu le Père honneur et gloire, quand des paroles comme celles-ci furent portées jusqu'à lui par la gloire magnifique: 'Celui-ci est mon Fils, mon bien-aimé, que moi j'ai agréé.'" Lors de la transfiguration de Jésus, Jéhovah a honoré son Fils en disant qu'il l'agréait, et il a fait cette déclaration en présence de témoins (Matthieu 17:1-5). Partant, l'homme qui honore sa femme ne l'humilie pas ni ne la dénigre; au contraire, il démontre par ses paroles et par ses actes, en privé comme en public, toute l'estime qu'il lui porte. - Proverbes 31:28-30.
Cet honneur, dit Pierre, le mari chrétien doit l''assigner' à sa femme. Il doit le lui accorder, non comme une faveur, mais comme un droit légitime. Qu'est-ce qui vaut un tel honneur aux femmes? Pierre explique: "Vous êtes avec elles héritiers de la faveur imméritée de la vie." Au Ier siècle de notre ère, les hommes et les femmes à qui Pierre adressait sa lettre étaient tous appelés à devenir cohéritiers du Christ (Romains 8:16, 17; Galates 3:28). Ils n'exerçaient pas tous les mêmes responsabilités au sein de la congrégation, mais tous finiraient par régner ensemble avec le Christ dans les cieux (Révélation 20:6). Aujourd'hui pareillement, alors que la plupart des serviteurs de Dieu ont l'espérance terrestre, tout élément masculin qui s'imaginerait que ses privilèges dans la congrégation lui confèrent plus de valeur que les femmes aux yeux de Dieu se tromperait lourdement (voir Luc 17:10). Les hommes et les femmes ont un statut spirituel identique devant Dieu, car la mort sacrificielle de Jésus leur ouvre la même perspective: celle d'être libérés de la condamnation au péché et à la mort, et de vivre éternellement. - Romains 6:23.
Pierre présente une autre raison impérieuse pour laquelle un mari devrait témoigner de l'honneur à sa femme: "Pour que [ses] prières ne soient pas entravées." La forme verbale 'être entravé' vient d'un verbe grec (énkoptô) qui signifie littéralement "couper dans". Dans son Dictionnaire interprétatif des mots du Nouveau Testament (angl.), W. Vine explique qu'il désignait "l'action d'entraver la progression de personnes en défonçant les routes ou en plaçant un obstacle au beau milieu du passage". Ainsi, le mari qui n'assigne pas de l'honneur à sa femme risque de constater l'existence d'une sorte de barrage empêchant ses prières d'arriver jusqu'à Dieu. Peut-être se sentira-t-il indigne d'approcher Dieu, à moins que ce ne soit Jéhovah qui refuse de l'écouter. Manifestement donc, Jéhovah accorde une grande importance à la manière dont les hommes se conduisent envers les femmes. - Voir Lamentations 3:44.
Le mari n'est pas le seul à devoir assigner de l'honneur. S'il doit témoigner de l'honneur à sa femme en lui accordant amour et dignité, celle-ci, de son côté, doit l'honorer en se montrant soumise et en lui manifestant un profond respect (1 Pierre 3:1-6). Du reste, Paul a exhorté les chrétiens à 's'honorer les uns les autres'. (Romains 12:10.) C'est une invitation lancée aux membres masculins et féminins de la congrégation à servir de concert dans un respect mutuel. Quand cet état d'esprit prévaut, les chrétiennes ne tiennent pas des propos acerbes visant à saper l'autorité de ceux qui sont à la tête. Au contraire, elles soutiennent les anciens et coopèrent avec eux (1 Corinthiens 14:34, 35; Hébreux 13:17). De leur côté, les surveillants chrétiens considèrent "les femmes âgées comme des mères, les jeunes comme des soeurs, en toute chasteté". (1 Timothée 5:1, 2.) Ils font preuve de sagesse et de bonté en prêtant attention à la voix de leurs soeurs chrétiennes. Ainsi, quand une soeur se montre soumise à la direction théocratique et qu'elle vient respectueusement leur poser une question ou même leur parler d'une situation réclamant leur attention, les anciens sont heureux de prendre en considération sa question ou son problème.
Depuis l'apparition du péché en Éden, au sein de nombreuses sociétés la femme est reléguée à une place déshonorante. Telle n'est pourtant pas la condition à laquelle Jéhovah la destinait à l'origine. Quelle que soit la position assignée à la femme dans une culture ou dans une autre, il ressort clairement des Écritures hébraïques comme des Écritures grecques que les femmes pieuses méritent honneur et respect. Tel est le droit que Dieu leur reconnaît.
[Notes]
Voici ce que déclare une encyclopédie (The International Standard Bible Encyclopedia): "Les femmes ne mangeaient pas avec les invités masculins, et l'on dissuadait les hommes de parler avec les femmes. (...) Il était particulièrement scandaleux de parler avec une femme dans un lieu public." Dans la Mishna, recueil d'enseignements rabbiniques, on trouve le conseil suivant: "Ne parle pas trop avec la femme. (...) Celui qui parle trop avec la femme se fait tort à lui-même, néglige la Tora et finalement il héritera du Guéhinom [la Géhenne]." - Pirké Avot I, 5.
Le livre La Palestine au temps de Jésus-Christ déclare: "Dans certains cas, la femme [était] presque assimilée à l'esclave. Ainsi, elle ne pouvait témoigner en justice, sauf le cas où elle attestait la mort de son mari." À propos de Lévitique 5:1, Le Talmud de Jérusalem, citant la Mishna, précise: "Le serment de témoignage n'est applicable qu'aux hommes, non aux femmes." - Schebouoth IV, 1.
Josèphe, historien juif du Ier siècle, rapporte que Salomé, soeur du roi Hérode, fit signifier à son mari "par lettre la rupture de leur mariage, ce qui est contraire aux lois des Juifs: car ce droit est réservé chez nous au mari". - Antiquités judaïques, XV, 259 (VII, 10).
[Article, ref: w95 15/7]
Note:
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*** Le but de l'article
n'est pas de présenter les Témoins de Jéhovah comme une
congrégation ou se genre de problème n'existe pas. N'oublions
pas que nous sommes tous imparfait.
L'article reflète la position des Témoins de Jéhovah. La
volonté ainsi que l'exemple donné par Dieu et Jésus en
matière de relation et de respect envers la femme.
La femme trouve une place très en vue et respectable dans la bible. Je
vous invite à faire d'autres recherches sur le thème " La
femme dans la bible ".